«Nous assumons les petites insuffisances. Nous nous excuserons auprès de ceux qui ont souffert et nous travaillerons pour régler ce genre de problèmes, sinon nous disparaîtrons mais nous travaillerons d’abord!», a fait savoir Ahmed Bedjaoui.


Limbo », long métrage britannique de Ben Sharrock a décroché le grand prix du 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA), clôturé samedi 10 décembre, à la salle Ibn Zeydoun, à l’Office Riad El Feth.


Zahia Yahia, commissaire du Festival international du cinéma d’Alger (FICA), clôturé samedi 10 décembre, a répondu au cinéaste Merzak Allouache, président du jury, qui a décidé de claquer la porte à une journée de la fin de la manifestation.
« Du cinéma « engagé’ au cinéma « dégagez »… Désolé pour les cinéphiles algériens qui n’ont pu voir plusieurs films déprogrammés par ce festival de la honte. Je suis rentré chez moi. En attendant des jours meilleurs. Pauvre cinéma algérien… », a écrit Merzak Allouache sur son compte Facebook.


La 11e édition du Festival international du cinéma d’Alger (Fica), dédié au film engagé, s’est clôturée dans la soirée de samedi, à la salle Ibn-Zeydoun de l’Office de Riadh El Feth (Alger).


La cinéaste française Viviane Candas a présenté mercredi soir, au palais de la culture Moufdi Zakaria son dernier documentaire Marseille’S. Projeté dans le cadre du focus « Cinéma, mémoire et résistance » du 11e FICA, elle propose une immersion aux origines de la discrimination et du racisme et témoigne sur les actuels concepts de l’identité et de l’intégration dans une démarche intergénérationnelle à Marseille, ville historique où un tiers de sa population est issue de l’immigration.


Parmi les six focus thématiques du 11e FICA, une rencontre-débat «Cinéma, mémoire et résistance», animée par un panel d’historiens, critiques et cinéastes, abrité par la cinémathèque algérienne. Il était question principalement de souligner l’importance pour un peuple de conserver sa mémoire et ses archives afin de résister contre les injustices et tentatives d’anéantissement identitaire à l’encontre des individus et des peuples. En présence de six réalisateurs,


Le cinéaste franco-algérien Rachid Bouchareb est à Alger pour la projection en avant-première nationale de son dernier long métrage « Nos frangins », sorti en France le 7 décembre 2022. Le film a été projeté, vendredi 9 décembre, à la salle Ibn Zeydoun, à l’Office Riad El Feth, à la faveur du 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA). Interview.


Le long-métrage de fiction «The Perfect Patient» (le patient idéal), un polar scandinave qui dénonce la manipulation judiciaire dans le cas «Thomas Quick», condamné à tort pour des crimes qu’il n’avait pas commis, a été projeté, mercredi soir, à Alger, Projeté à la salle Ibn Zeydoun de l’Office Riadh El Feth (OREF) dans le cadre de la compétition officielle du 11e Festival international du cinéma d’Alger (Fica) dédié au film engagé, «The Perfect Patient», «Quick», selon son titre originel, a été réalisé en 2019 par le Suédois Mikael Halfstrom sur un texte du Norvégien Erlend Loe, dans une coproduction suédoise-belge.


« Argu » (rêve) de Omar Belkacemi, seul long métrage algérien en compétition au 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA), porte une critique au vitriol des archaïsmes sociaux et plaide pour le droit à la différence. 


Le film « De nos frères blessés » de Hélier Cisterne met à l’écran, pour la première fois dans le cinéma français, l’histoire de Fernand Iveton, militant communiste anticolonialiste qui a soutenu le combat des algériens pour l’indépendance.   


Dans le documentaire « Hummus, a story of appropriation », en compétition au 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA) jusqu’au 10 décembre 2022, le cinéaste Abood Lafi a choisi un angle original pour montrer les souffrances  des palestiniens à Jérusalem, El Qods. 


Juliana Fanjul a surmonté des menaces et des peurs pour réaliser le documentaire « Silence radio » sur la censure au Mexique, projeté en compétition au 11ème Festival international du cinéma d’Alger qui se déroule jusqu’au 10 décembre 2022. 


L’universitaire et critique Ahmed Bedjaoui est directeur artistique du Festival international du cinéma d’Alger (FICA) qui se déroule jusqu’au 10 décembre 2022.


Le 11ème Festival international du cinéma d’Alger (FICA) est de retour après deux ans d’arrêt en raison de la pandémie de Covid-19. Une soixantaine de films sont prévus du 2 au 10 décembre 2020. Vingt cinq films sont en compétition.


El Gharib » (l’étranger) du syro-palestinien Ameer Fakhreddine a été projeté, vendredi 2 décembre, en ouverture du 11ème Festival International du Cinéma d’Alger (FICA), à la salle Ibn Zeydoun, à l’Office Riad El Feth.


Après une rupture de deux ans, le Festival international du cinéma d’Alger (FICA) est de retour pour sa 11ème édition. Ce festival, dédié aux films engagés, se déroule du 2 au 10 décembre 2022 dans plusieurs salles dont Ibn Zeydoun et la cinémathèque d’Alger. Rencontre avec Zahia (Zehira) Yahi, commissaire du festival.


A l’instar des projections filmiques prévues lors de la onzième édition du Festival international du film d’Alger, des rencontres débats sont animées par les professionnels de cet art. Dimanche, des chercheurs et cinéastes algériens ont appelé à «valoriser les archives filmiques sur la Révolution algérienne», précisant que cet héritage culturel constitue un «fonds documentaire» et une «ressource inépuisable» pour l’écriture de l’histoire de l’Algérie sous le joug colonial.


ALGER – Trois films documentaire et des extraits de productions en cours, en lien avec la Guerre de libération nationale et la période coloniale, ont été projetés, dimanche à Alger, au public du 11e Festival international du cinéma d’Alger (Fica).


«Hummous. Une histoire d’appropriation» de Abood lafi et «Non Alignés» de Mila Turajilic ont plaidé pleinement pour l’union entre les peuples contre la confiscation des idées et des libertés…


La numérisation et la restauration du patrimoine cinématographique algérien est une nécessité impérieuse, soulignent des cinéastes et chercheurs dans le 7e art, intervenant lors d’un forum de discussion, organisé samedi à la Cinémathèque algérienne, en marge du Festival international du film d’Alger (FICA).


Samedi soir, à Alger, a été projeté le film documentaire « Non alignés, scènes des bobines de Labudovic » de la réalisatrice serbe Mila Turajlic, sur Steven Labudovic, le caméraman du leader de l’ex-Yougoslavie, Josip Broz Tito.


DIA- 03 décembre 2022: Après deux années d’absence, en raison de la pandémie de Covid-19, la 11e édition du festival international du cinéma d’Alger (FICA) s’est ouverte vendredi soir.


Chercheurs et cinéastes, ont appelé dimanche à Alger, à « valoriser les archives filmiques sur la Révolution algérienne », qui constituent un « fond documentaire » et une « ressource inépuisable » pour l’écriture de l’histoire de l’Algérie sous le joug colonial.


Chercheurs et cinéastes, ont appelé dimanche à Alger, à « valoriser les archives filmiques sur la Révolution algérienne », qui constituent un « fond documentaire » et une « ressource inépuisable » pour l’écriture de l’histoire de l’Algérie sous le joug colonial.


Premier long-métrage du réalisateur syrien Ameer Fakher-Eddine, Al Gharib (L’étranger) vous saisit aux yeux dès les premiers plans. Un choix heureux pour l’ouverture de cette 11e édition du Festival international du cinéma d’Alger (FICA) dédié au film engagé.


ALGER – Trois films documentaire et des extraits de productions en cours, en lien avec la Guerre de libération nationale et la période coloniale, ont été projetés, dimanche à Alger, au public du 11e Festival international du cinéma d’Alger (Fica).


ALGER- Le long métrage « Limbo » du réalisateur et scénariste Ben Sharrock (Royaume-Uni), une comédie dramatique qui met en lumière la tragédie des réfugiés syriens en Europe, a été projeté dimanche soir à Alger.


La 11e édition de la manifestation, interrompue depuis deux ans, se déroulera du 2 au 10 décembre avec une riche programmation algérienne mais aussi internationale.


El Garib ouvrira la onzième édition du Fica, dans une salle pleine dans l’espoir que celle-ci continue à l’etre jusqu’au 10 décembre…La salle Ibn Zeydoun, à Riadh El Feth, s’est avérée exigue vendredi dernier, pour contenir tout ce beau monde venu célébrer le cinéma de tout bord et principalement dans son caractère engagé. Sur scène, Zehira Yahi,