« Mercedes Sosa incarnait la sérénité, le pardon et la sagesse »

Que représente pour vous « La Negra » ?

Mercedes Sosa une des personnalités les plus influentes d’Amérique Latine. Elle incarnait la sérénité, le pardon et la sagesse. Elle se distinguait autant par sa dimension de grande chanteuse politique que par ses qualités humaines. Elle a su transcender les frontières de l’univers musical en imposant, à travers le Mouvement du nouveau Cancionero, montrant que la chanson la plus poétique peut aussi se convertir en acte politique.


Une résistance, un parcours, une vie 

Célèbre grâce à sa sublime voix, un documentaire sur la vie, l’œuvre et la lute politique de la chanteuse argentine Mercedes Sosa, intitulé « Mercedes Sosa, la voix de l’Amérique Latine » du réalisateur Rodrigo H Vila, a été projeté cet après-midi, à la salle El Mouggar, en présence du réalisateur, dans le cadre du 5e Festival international du cinéma d’Alger-Journées du film engagé.


La « fin d’un monde » raconté par deux imaginaires

« Braddock America », un documentaire co-signé Jean-Luc Portron et Gabriella Kessler, et « Les Sœurs Quispe », un long métrage, réalisé par le Chilien SebastianSepulveda ont font l’objet d’un débat, à la salle El Mouggar.


Lutte pour un mode de vie voué à disparaître

Un drame social relatant le destin de trois sœurs bergères vivant, coupées du monde, dans les montagnes du Chili dans les années 1970, écrit et réalisé par le cinéaste chilien Sebastian Sepulveda a été projeté lundi soir, 15 décembre au public de la salle El Mouggar.


Un ticket pour une vie meilleure

Dieudo Hamadi suit un groupe de jeunes lycéens qui s’apprêtent à passer une épreuve déterminante, qui changera le cours de leurs vies et leur permettra de s’en sortir en accédant à l’université.


Zoom sur le déclin américain 

Il a été projeté en début d’après-midi, à 15h, à la salle El Mouggar, en compétition section Documentaire, dans le cadre du 5e Festival international du cinéma d’Alger – Journée du film engagé, qui prend fin le 18 décembre 2014. Après sa sortie en France et aux Etats Unis d’Amérique, c’est la capitale algérienne qui l’accueille pour sa première sortie étrangère.


Regards croisés 

Khalo Matabane, réalisateur du documentaire « Mandela, the myth and me », et Nejwa Nejjar, qui a signé la fiction « Ouyoune El Haramia », deux films projetés dans le cadre du 5eFestival international du cinéma d’Alger, dédié au film engagé, ont animé dans la matinée, à la salle El Mouggar, une rencontre-débat autour de leur travail cinématographique respectif.

S’exprimant sur son film, Khalo Matabane, reconnaissant que « tous les films à faire sont difficiles », a déclaré : « Mon documentaire est une lutte pour la mémoire. En le faisant, j’essaie de surmonter le pouvoir et les perceptions. »


Inspiré d’une histoire vraie, «Ouyoune el haramia» de Najwa Najjar (coproduit par l’Algérie) a été présenté au public, dimanche soir (19h30) à la salle El Mouggar, dans le cadre de la compétition Fiction du 5e Festival international du cinéma d’Alger –Journées du film engagé (FICA).


Comment accepter la réconciliation sans justice

Dédié à Nelson Mandela, en tant que mythe constructeur de l’après-Apartheid, et à son héritage dans un pays encore miné par les inégalités, le documentaire « Nelson Mandela : the myth & me » (Nelson Mandel : le mythe et moi) du réalisateur sud-africain Khalo Matabane a été projeté au public dimanche 14 décembre.


Quand un suédois actualise le texte de Frantz Fanon
Il a été projeté cet après-midi à 15h, dans la salle El Mouggar, en compétition dans le cadre du 5e Festival international du cinéma d’Alger – Journées du film éngagé.


« On nous accuse d’être des femmes »

Bahia Bencheikh El Fegoun, qui a réalisé le documentaire « H’na Barra » (Nous, dehors) avec Meriem Achour Bouakkaz, a animé ce dimanche matin, à la salle El Mouggar, au lendemain de la projection du documentaire, une rencontre-débat au cours de laquelle elle est revenue sur le film. Une oeuvre qui raconte la place de la femme dans la société, notamment dans un l’espace public.

Interrogée sur les raisons qui l’ont poussé à faire ce film, la réalisatrice a répondu que ce documentaire est une manière de dénoncer  cette violence faite à l’encontre des femmes et aussi de montrer leurs place dans l’espace public . C’est pour dire aussi « comment sommes-nous perçues ».